Ils ont été découvertes en 1839 par un expérimentateur allemand, HW Dove, et décrits pour la première fois par Oster au début des années 70. Le cerveau produit la perception de ces battements lorsque le corps olivaire du cerveau essaie de «localiser» la direction du son en réponse à la présentation de deux sons différents à chaque oreille – ce qui, si vous y réfléchissez, n’est pas quelque chose qui se produirait dans la nature si ce n’était via des aides technologiques.
La méthode est la suivante : un son mono spécifique est diffusé dans une oreille – par exemple un bruit rose à 313 Hz – et ce même son est diffusé simultanément dans l’autre oreille mais cette fois à 323 Hz.
Le cerveau traite alors les deux informations et les mélange créant ainsi un troisième son correspondant à la différence des deux sonorités existantes, à savoir 10 Hz dans notre exemple (313 – 323 = 10). C’est sur cette fréquence que le cerveau va se caler.
En effet, lorsqu’il reçoit un signal proche d’un des rythmes qu’il est habitué à émettre, par effet d’entraînement, le cerveau se met à fonctionner sur ce même rythme produisant ainsi les mêmes effets qu’à l’état naturel. On appelle ce mécanisme la « réponse d’adoption de fréquence ».
Par exemple, la réception d’un signal de 10 Hz aura pour conséquence de vous relaxer sans pour autant vous endormir.
Pour ressentir les effets des rythmes binauraux, il est obligatoire de mettre un casque audio stéréo de bonne qualité.
Des personnes ayant beaucoup d’expérience avec les états modifiés de conscience affirment que leurs chakras se trouvent stimulés. Ils se retrouvent dans le même état que pendant leur pratique intense de méditation. Les études montrent que chaque chakra est stimulé par une fréquence différente.
Heinrich Wilhelm Dove découvrit les battements et sons binauraux en 1839. Tandis que la recherche sur les battements binauraux continua après cela, le sujet est resté une espèce de curiosité scientifique pendant 134 ans. En 1875, le neuro-physiologue Caton met en évidence la présence de courants électriques dans le cerveau (dans l’encéphale). En 1929, Hans Berger mesure cette activité cérébrale maintenant connue comme activité encéphalographique. En 1950, Gray Walter découvre l’ « effet photique », c’est à dire que le cerveau réagit et répond aux stimulations sonores et lumineuses pour aligner ses ondes cérébrales en conséquence. Dans les années 1960, les battements binauraux ont commencé à devenir un outil pour le milieu médical. Bernard Margolis a publié un article sur les battements binauraux utilisés pendant les opérations dentaires permettant de diminuer les doses d’anesthésie permettant moins de bâillonnement, moins de saignements et une réduction générale de l’anxiété. Avec la publication de l’article de Gerald Oster intitulé «Auditory Beats in the Brain» (dans un numéro de 1973 du Scientific America), il a démontré que les battements et sons binauraux sont un outil puissant pour la recherche cognitive et neurologique, abordant des questions comme : comment les animaux localisent des sons dans leur environnement tridimensionnel. Mais aussi la capacité incroyable d’animaux à pouvoir choisir et se concentrer sur des sons précis lors d’un brouhaha (connu comme l’effet cocktail party). Gerald Oster considéra aussi que les battements binauraux sont un outil de diagnostic médical utile. Dans les années 1980, des études se sont poursuivies par le Dr Glen Salomon et d’autres recherches sur l’entraînement des ondes cérébrales pour le soulagement des maux de tête ainsi que la relaxation générale. L’effet des sons binauraux et sons isochrones a été confirmé en 1984 lorsque le Dr Brockopp qui a analysé la stimulation cérébrale audio-visuelle et la synchronisation hémisphérique au cours du suivi EEG. En 1992, Michael Hutchison, rapporte que les scientifiques ont constaté que les états de type «peak states» (correspondant à l’état le plus créatif) sont clairement liés à des structures très spécifiques de l’activité cérébrale. Il s’agit de modifications spectaculaires de l’activité cérébrale, la symétrie de l’hémisphère et des modifications rapides dans les niveaux de neurotransmetteurs différents. En utilisant des combinaisons précises de pulsation des ondes sonores, ils peuvent effectivement produire des modèles d’ondes cérébrales dans le cerveau identiques à cet état, chez des gens ordinaires.
Toute la musique qui nous est familière est composée de notes qui ont leurs limites en termes de vibrations.
Cependant, il existe une ancienne gamme de fréquences appelée Fréquences Sacrées ou Fréquences Originelles.
Cette gamme, perdue pendant des siècles, a été retrouvée par accident par le Dr Joseph Puleo.
On dit d’elle détient un potentiel illimité pour aider à la guérison et pour notre transformation personnelle.
La musique, les sons et les différentes fréquences ont toujours fait partie de la vie, et ce depuis le tout début de l’Histoire. Les Fréquences Sacrées sont issues d’une ancienne échelle musicale perdue.
Ces anciennes fréquences étaient notamment utilisées lors de bénédictions spirituelles, de cérémonies mais aussi dans les chants grégoriens et les musiques chamaniques…
Ces fréquences contiennent des pouvoirs… Elles ont la capacité de guérir et d’harmoniser le corps et l’esprit dans leur ensemble… et bien d’autres choses aussi merveilleuses les unes que les autres !
Ce qui peut paraître encore plus incroyable, c’est qu’aujourd’hui certaines de ces fréquences sont utilisées par les biochimistes génétiques pour réparer l’ADN.
C’est pourquoi, compte tenu des résultats étonnants et extraordinaires constatés, certains les nomment
Depuis plusieurs siècles, des scientifiques de tous horizons (mathématiciens, physiciens, astronomes, biologistes…) travaillent sur ces fréquences si particulières pour décoder les énergies célestes.
Leurs travaux se basent sur 3 lois fondamentales :
1. La loi des 3 forces
Dans tous les mondes sans exception, tout phénomène résulte d’une action simultanée de 3 forces : Positive, Négative et Neutralisante.
2. La loi de vibration
Tout dans l’univers est vibration. Ces vibrations s’expriment en Hertz et en Tempo. Elles comprennent entre autres : les Ondes, les Fréquences, les Sons, les Mouvements, les Sensations et les Émotions.
3. La loi de l’octave
Cette loi rend possible la combinaison des lois astronomiques, mathématiques et musicales.
A partir de ces 3 lois, le scientifique Hans Cousto a crée l’échelle des “Tons de l’Octave Cosmique“.
Cette grille permet de convertir les fréquences des planètes du système solaire en sons.